Dancing lights of Fae_ryë

Plus de 10 lunes a present que nous dormons dehors, ou dans de sombres auberges car notre bourse se vide peu à peu. Le froid, je le supporte bien,.je suis fille du Nord, nous vivons des hivers longs de plusieurs vies. Je suis nee pendant l'hiver rouge, ne vous figurez pas que je ne suis qu'une femme . Mes compagnons de hasard, deux hommes curieux et singuliers, sont devenus des amis, des frères d'armes. L'un ďentre eux est particulierement bougon comme un vieux dragon, mais soit, mon propre caractere etant je le sais bien,difficile. Je m'en excuse par avance,.ces derniers.jours il m'a permis de ne pas mourir comme tous ceux que.j'aime. Que les anciens dieux et les.nouveaux les mène ou leur esprit mérite de demeurer. Je les pensais éternels, les voici réduits à poussiere d'eternite. Je replie le rouleau de parchemin, car jentends du mouvement. Les Dieux soient maudits pour m'avoir fait l'oreille si fine. Allez avec les Dieux.

Plus de 10 lunes a present que nous dormons dehors, ou dans de sombres auberges car notre bourse se vide peu à peu. Le froid, je le supporte bien,.je suis fille du Nord, nous vivons des hivers longs de plusieurs vies. Je suis nee pendant l'hiver rouge, ne vous figurez pas que je ne suis qu'une femme . Mes compagnons de hasard, deux hommes curieux et singuliers, sont devenus des amis, des frères d'armes. L'un ďentre eux est particulierement bougon comme un vieux dragon, mais soit, mon propre caractere etant je le sais bien,difficile. Je m'en excuse par avance,.ces derniers.jours il m'a permis de ne pas mourir comme tous ceux que.j'aime. Que les anciens dieux et les.nouveaux les mène ou leur esprit mérite de demeurer. Je les pensais éternels, les voici réduits à poussiere d'eternite. Je replie le rouleau de parchemin, car jentends du mouvement. Les Dieux soient maudits pour m'avoir fait l'oreille si fine. Allez avec les Dieux.

 

Oye Oye.

 

Toi le visiteur, le pélerin, silencieux témoin des divagations pour lesquelles, je l'espère, tu finiras par me pardonner.....

Tu foules là la terre encore fraîche de mon imagination, que je te livre, brute, peut-être maladroite, mais dans l'intention la plus pure qui soit.

Or donc, Indulgent passant qui en verra dessiner les reliefs, peu à peu, entre donc, prends place autour du feu, et  donc une oreille, un oeil ou ce que tu voudras. Les bougies brûlent, immobiles, car le vent lui- même s'est tu.

Il fait bon près de l'âtre où tu iras t'asseoir, patiemment, et peut-être entendras tu quelques rires portés par la bière que l'on sert ici, mais n'en sois pas effrayé, mon sage lecteur.

Car ici tu es Roi.